Les agriculteurs de la région du Cap Bon, spécialisés dans la production de tomates saisonnières destinées à la transformation, ont récemment exprimé leur inquiétude quant à la baisse de la production due à une combinaison de facteurs. En effet, le stress hydrique a eu un impact important sur les cultures, tout comme la hausse des coûts de production et de main-d’œuvre.
Le président de l’Union régionale de l’agriculture et de la pêche (URAP), Imed Bey, a également souligné la baisse de 50% des superficies consacrées à la culture des tomates de transformation dans la région. Cette situation est préoccupante pour les agriculteurs locaux qui craignent pour leur avenir et celui de leur industrie.
Il est essentiel de prendre en compte ces défis et de travailler ensemble pour trouver des solutions durables qui permettront de soutenir les agriculteurs et de maintenir la production de tomates de qualité dans la région du Cap Bon. Les autorités concernées devraient également prendre des mesures pour alléger les coûts de production et pour aider les agriculteurs à faire face aux conditions climatiques difficiles.